lundi 21 novembre 2011

L’immigration des sans-papiers à l’égard du président américain


Le président des États-Unis a construit le mur pour pouvoir contrôler ses frontières et diminuer les rentrées des immigrants sans-papiers. Donc, le président américain a décidé de protéger son territoire envers ces immigrants sans-papiers afin d’empêcher la rentrée de ces immigrants sans-papiers dans les territoires américains.
Ainsi, il décide d'envoyer des multiples forces militaires. il a multiplié ses surveillances, « le président américain a rappelé qu’il avait déjà fait passer les effectifs de la patrouille frontalière de 9000 à 12 000 agents depuis son élection [1]», et il a mis en place des punitions pour ces sans-papiers afin de diminuer le nombre d’immigrations illégales, « le président a également indiqué que les immigrants illégaux arrêtés ne seront plus relâchés sur promesse de comparaître, mais plutôt gardés en détention jusqu’à ce que les procédures légales de leur expulsion soient terminées [2]». Donc, le président américain a énormément investi des millions de dollars afin de diminuer l’entrée de ces genres de personnes illégales.

D’autre part celui de Barak Obama : « Barak Obama, lui, va consacrer 600 millions de dollars supplémentaires pour tenter de juguler l’immigration clandestine et le trafic de drogue [4] ». Cette action amène un sentiment honteux chez les Mexicains. Puisqu’ils sont des voisins. Comme c’est mentionné dans le texte : «Dans la population mexicaine, ce mur, tout comme celui de Berlin ou de Cisjordanie, est ressenti comme celui de la honte. Le sentiment antiaméricain toujours latent au Mexique se raffermit. Le Mexique est le 2e partenaire commercial des États-Unis [5] ». Cette idée apporte une idée de racisme.



[1] Réforme de l'immigration, «La sécurité d'abord, martèle Bush», Radio-Canada [en ligne], http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2006/05/15/010-bush-discours-immigra.shtml (Page consultée le 27 septembre 2011)

[2] Ibid
[3]Ibid
[4] RFI, « Des drones pour renforcer les contrôles à la frontière entre les États-Unis et le Mexique», Rfi, 1er septembre 2011 [En ligne], http://www.rfi.fr/ameriques/20100901-drones-renforcer-controles-frontiere-entre-etats-unis-le-mexique (Page consultée le 27 septembre 2011)
[5] Patrice, GOUY, « Le mur de la honte », Le RFI, 3 octobre 2006 [En ligne], http://www.rfi.fr/actufr/articles/082/article_46544.asp (Page consultée le 27 septembre 2011)
[6] (Images) «La sécurité d'abord, martèle Bush», Radio-Canada [en ligne], http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2006/05/15/010-bush-discours-immigra.shtml

 Alireza Lajevardighomi


De plus, l’événement du 11 septembre 2001 améliore la sécurisation frontalière par les présidents américains. D’une part, l’investissement de George Bush « Dès lors les événements du 11 septembre ont impulsé un mouvement centripète, connectant la migration internationale, le terrorisme et la sécurité frontalière, et le Congrès a augmenté le budget pour la sécurité frontalière de 145 % [3]» qui illustre une amélioration de force autour de cette bordure par George Bush.