Une fois traversée la frontière, ces immigrants sans-papiers risquent d’avoir des problèmes aux États-Unis, puisque ces gens doivent traverser la frontière par le désert, sans repas pour plusieurs jours.
Donc ils peuvent mourir de faim puisqu’ils ne trouvent rien à manger pour un certain temps. Comme c’est dit: « Part of the Channel Islands National Park, Santa Cruz is a popular outdoor spot for Los Angeles-area campers, kayakers, snorkelers and hikers. But the illegal immigrants found there on July 8 had been marooned without food or water for three days, immigration officials said [1]». D’autres problèmes les attendent : « Ten suspected illegal immigrants were detained June 29 near the upscale seaside enclave of Malibu. A woman in that group had a broken nose, and one man had broken his leg, injuries suffered when they came ashore, officials said [2]». De plus, un autre problème qui les traite, c’est l’existence des animaux sauvages dans un territoire désertique. Un autre problème qui est développé sur le territoire étatsunien par les sans-papiers est les maladies amenées par ces personnes illégales.
Donc ils peuvent mourir de faim puisqu’ils ne trouvent rien à manger pour un certain temps. Comme c’est dit: « Part of the Channel Islands National Park, Santa Cruz is a popular outdoor spot for Los Angeles-area campers, kayakers, snorkelers and hikers. But the illegal immigrants found there on July 8 had been marooned without food or water for three days, immigration officials said [1]». D’autres problèmes les attendent : « Ten suspected illegal immigrants were detained June 29 near the upscale seaside enclave of Malibu. A woman in that group had a broken nose, and one man had broken his leg, injuries suffered when they came ashore, officials said [2]». De plus, un autre problème qui les traite, c’est l’existence des animaux sauvages dans un territoire désertique. Un autre problème qui est développé sur le territoire étatsunien par les sans-papiers est les maladies amenées par ces personnes illégales.
Alors, les médecines américaines sont très inquiètes par ce phénomène. Donc, les médecins demandent une protection envers ces gens et cela est indiqué : « En 1990, les États-Unis comptaient à peine 3,5 millions de sans-papiers. En moins de 20 ans, leur nombre a grimpé à 12 millions. C’était trop. Comme si tous les habitants du Honduras et du Nicaragua avaient cavalièrement traversé la frontière [3]». Donc, Ces événements sont des dangers qui traitent les américains et ceux-là sont les causes d’inquiétudes.
Pour cette raison, les médicine demandent la sécurité envers ces gens , « ce pays avait besoin d’être bien gardé. Clôtures, détecteurs et vigiles, telles furent les médecines prescrites par les docteurs de la loi pour enrayer la propagation de la peste des sans-papiers [4]». Puisque ces gens ne sont pas considérés comme des citoyens et le gouvernement n’a aucune information par apport à leur existence. Autrement dit, le gouvernement ne sait pas que ces gens existent. Donc, il ne peut pas offrir des services de santé pour ces gens. Alors, ces types gens n’ont aucun service de santé et ils sont en danger de santé. Aussi, les sans-papiers ne sont pas en mesure d’avoir des services d’éducation. Comme ces gens sont des personnes illégales, ils n’ont pas de service de l’éducation. Aussi ces gens doivent toujours vivre sous l’inquiétude de l’expulsion. Puisqu’ils sont présentés comme des personnes illégales et ils n’ont pas le droit de rester dans ce pays. Donc, le gouvernement a pris des décisions pour les expulser du pays et les retourne à leur pays d’origine.
[1] KANDEL, Jason, « Maritime smuggling to California on the rise », Los Angeles, July 30 2011, [Online], http://www.reuters.com/article/2011/07/30/us-usa-mexico-boats-idUSTRE76T1J920110730 (Page consultée le 27 septembre 2011)
[2] Ibid
[3] Ibid
[4] LUIS ROCHA, José, «ÉTATS-UNIS - Arizona : à l’avant-garde mondiale de la xénophobie», Mondialisation.ca, [En ligne], http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=20916, (Page consultée le 27 septembre 2011)
[3] Ibid
[4] LUIS ROCHA, José, «ÉTATS-UNIS - Arizona : à l’avant-garde mondiale de la xénophobie», Mondialisation.ca, [En ligne], http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=20916, (Page consultée le 27 septembre 2011)
[5] (Vidéo) Aljazeera TV, «The Wall of shame», [Online], http://www.youtube.com/watch?v=1zxZ5GkYQOk&feature=related, (consulté le 20 novembre 2011)
Alireza Lajevardighomi
Alireza Lajevardighomi
